On appelle métaux lourds les éléments métalliques naturels dont la masse volumique dépasse 5g/cm3. Ceux-ci sont présents le plus souvent dans l'environnement sous forme de traces : mercure, plomb, cadmium, cuivre, arsenic, nickel, zinc, cobalt, manganèse.
Les plus toxiques d'entre eux sont le plomb, le cadmium et le mercure.
Parmi les métaux lourds, on distingue principalement trois d'entre eux : le mercure, le plomb et le cadmium. Pourquoi distinguer ces trois métaux ? Il y a, d'une part, une raison historique. Les premiers biochimistes ont distingué ces trois métaux en raison de leur affinité avec le soufre qui permettait d'identifier les protéines « qui précipitent lourdement » ou donnent facilement des sels (sels de mercure, sels de plomb...).
Ces trois métaux ont aussi quelques caractéristiques physico-chimiques communes :
- Ils se transportent, changent de forme chimique, mais ne se détruisent pas.
- Ils ont une conductivité électrique élevée, qui explique leur utilisation dans de nombreuses industries.
- Mais surtout, ils présentent une certaine toxicité pour l'homme, entraînant notamment des lésions neurologiques plus ou moins graves. Tandis que tous les autres ont une utilité dans le processus biologique, certains métaux (les oligo-éléments) sont même indispensables à la vie (le fer, le cuivre, le nickel, le chrome...), les trois métaux cités sont des éléments uniquement toxiques.
OU PEUT-ON TROUVER DU MERCURE?
- L'air, qui est contaminé par la combustion du charbon,
- L'eau, que nous absorbons tous les jours contient du mercure, mais cette forme de mercure est très peu absorbable et nous la retrouvons dans les selles. C'est pour cela que l'analyse dans les selles n'est pas forcément fiable car elle représente surtout le mercure ingéré,
- Les poissons et les fruits de mer, surtout les gros poissons car c'est la loi de la nature : les gros poissons mangent les petits poissons, donc les gros présentent des taux de mercure beaucoup plus élevés que les petits. Il faut donc favoriser les petits poissons dans l'alimentation. Le thon en boîte et l'espadon sont les plus contaminés,
- Les substances contraceptives (Sels de phénylmercure),
- Les cosmétiques et les shampooings (Sels de phénylmercure),
- Les gouttes oculaires (ou collyres) contenant du chlorure benzalkonium, du thimerosal ou thiomersal, de la merbromine sodique),
- Les pommades ophtalmiques (contenant de l'oxyde mercurique jaune),
- Les conservateurs pour les produits de démaquillage et maquillage des yeux,
- Le mercurochrome et les antiseptiques (solutions aqueuses d’éosine contenant du thimerosal),
- L'industrie électrique (piles et batteries alcalines, lampes, tubes fluorescents ou néons, redresseurs de courant, contacteurs)
- Les instruments de mesure (thermomètre...)
- Les amalgames et alliages dentaires, la joaillerie...
- Les fongicides, germicides, herbicides, insecticides,
- L'industrie de certains papiers et feutres,
- Les peintures protectrices (pigments de cinabre ou vermillon, sulfure de mercure)
- Les lotions capillaires,
- L'industrie du chlore et de la soude, représentent plus de 75% de la consommation de mercure
Mais les deux plus grandes sources de mercure sont :
- les amalgames dentaires, qui dégagent de la vapeur de mercure traversant la barrière placentaire et intoxiquant le foetus. De plus, on peut retrouver le mercure dans le lait maternel. Il est vrai qu'il faut allaiter les enfants, mais le faire avec du lait contenant du mercure n'est pas forcément la meilleure des choses.
- les vaccins contiennent aussi du thimérosal, en particulier le vaccin ROR, qui est très incriminé, car on a vu une explosion des symptômes de l'autisme depuis 10 ans, depuis que le ROR est donné de façon systématique. De plus, celui-ci est généralement administré entre 12 et 18 mois, âge auquel on voit apparaître les troubles autistiques chez les enfants. Chaque vaccin contient de 12,5 à 25 µg de thimoresal et l'enfant peut arriver à une charge de 237 µg lorsqu'il a eu toutes ses vaccinations à l'âge de 5 ans,
LES METAUX LOURDS DANS LES AMALGAMES DENTAIRES
L’ Amalgame dentaire contient 50% de Mercure.
C’est cette présence massive de Mercure qui le rend si toxique, même si de nombreux porteurs ne présentent pas de symptômes. Les sensibilités individuelles, en effet, sont telles que nous réagissons différemment à toutes les agressions : nous avons vu des victimes du tabac à 29 ans alors que d’autres fument sans mal jusqu’à plus de 80 années !
De nombreux procès ont émaillé la longue « guerre des plombages ». Ils ont été souvent gagnés par les plaignants et ce, dans tous les pays développés. Les démonstrations les plus spectaculaires de la toxicité du Mercure dentaire ont été administrées en Allemagne à Tübingen et à Kiel. Elles utilisent des techniques mathématiques de statistiques totalement irréfutables. Malgré cela, un seul pays européen a osé avouer l’erreur et assumer la prise en charge des conséquences de cette tromperie. Il s’agit de la Suède dont le gouvernement a avoué : « Nous nous sommes trompés ».
Les autres gouvernements ont continué à observer un silence assourdissant ou à soutenir que les amalgames dentaires ne sont pas dangereux, que le Mercure contenu est parfaitement stable (en contradiction flagrante avec les études effectuées dans le monde entier), ou encore que le Mercure des Amalgames n’a rien à voir avec le Mercure ordinaire !
LES METAUX LOURDS DANS LES VACCINS
Voici une liste de vaccins contenant du thiomersal ou thimérosal :
- Vaccin Engerix B®
- Vaccin grippal Ronchese VGR®
- Vaccin tétanique Pasteur®
- ImmuGrip®
- Tétagrip 05®
- Tétavax®
- DT bis®
- DT Coq®
- DT Vax®
- Vaxicoq®
- Vaxigrip®
- Fluvirine®
- Mutagrip®
- HB Vax DNA®
LES PATHOLOGIES ASSOCIEES AUX METAUX LOURDS
Le mercure n'est pas seulement toxique pour le cerveau mais aussi pour tous les organes et les tissus. Il est incriminé dans beaucoup de pathologies de l'adulte :
- Syndrome de Fatigue Chronique,
- Fibromyalgie,
- Sclérose en Plaques,
- Sclérose Latérale Amyotrophique ou maladie de Charcot
- Epilepsie
- Maladie d'Alzheimer et Parkinson.
METHODES DE DETECTION D'UNE INTOXICATION AUX METAUX LOURDS
Le test le plus fiable pour détecter une intoxication au mercure est le test des porphyrines urinaires.
Le mercure (Hg) et les autres métaux lourds interfèrent avec la synthèse de l'hème, qui conduit à l'augmentation des Uroporphyrines et des Coproporphyrines. Le mercure provoque l'augmentation des Pre-coproporphyrines, qui sont considérées comme un marqueur spécifique de l'intoxication au mercure. C'est donc l'analyse de ces dernières qui sera le meilleur indicateur de la nécessité de la chélation.
Le profil des Porphyrines Urinaires est extrêmement sensible à de très nombreux toxiques, dérivés aromatiques halogénés, métaux lourds. La chaîne de synthèse des Porphyrines urinaires est la sentinelle de l'intoxication de l'organisme.
Son profil chromatographique affirme l'intoxication, identifie l'agent responsable, et surtout quantifie la surcharge toxique avant et pendant la thérapeutique de chélation.
LES METAUX LOURDS ET LES RAYONNEMENTS ELECTROMAGNETIQUES
Il devient de plus en plus évident, au regard de tout ce qui a été dit ci-dessus, que les métaux lourds sont devenus un co-facteur de sensibilisation du corps et du système nerveux aux rayonnements électromagnétiques. Des recherches très sérieuses sont entreprises aux USA par Tamara MARIEA (diplômée en biochimie/biologiste et diplômée en nutrition clinique humaine) et le docteur Georges CARLO (scientifique de renommée mondiale et épidémiologiste qui a fait des études dans le domaine des effets biologiques des rayonnements de type micro-ondes).
Ces recherches portent sur le lien potentiel entre l'autisme et l'irradiation par les rayonnements électromagnétiques. "...il n'y a aucun doute que nous observons une élévation épidémique grave de l'autisme chez les enfants et que l'utilisation répandue de l'électronique et des dispositifs sans fil pourrait bien constituer un facteur qui a été ignoré." (Docteur Derrick LONGSDALE).
MARIEA a acquis une solide réputation dans le domaine de la désintoxication cellulaire. Elle effectue des recherches et va publier une étude expliquant le rôle amplificateur des rayonnements électromagnétiques sur les métaux lourds en tant que composants importants dans l'étiologie de l'autisme. En d'autres termes, MARIEA explique aux parents qui se battent pour venir en aide à leurs enfants, qu'avec le nombre croissant d'antennes-relais, de téléphones portables et de technologies WiFi en circulation, le risque d'autisme ne cesse de croître.